monde

Zen zappé,belzebuth dépose son baiser.

Effleure tes pores et le décor devient brasier.

Souffre dans l'atmosphère ,irrespirable.

Ca souffre sur la sphère,invivable.

Un monocle dans le pentacle,plus de miracle.

Notre monde plein de peine pinacle,

Il n'y a plus que des ombres ,

Qui dans des pécher innavouables sombre décapitation de bon nombre

De lois ,de sentiments et de fois,

Pour ses sous,ces ciments son soit et ses soins.

Soigne à haut degrés et dans la nicotine la skunk,

S élève et se dresse comme le capilaire d'un punk.

Capitalise sur la faux drappée et les dératés,

Font déraper les jeux,bookmaker sur les décès,

les croques mort se font des couilles en or

Les vivants s'debrouillent mettant même en vente leur corps

Accordent leurs ames ,pour qui en veux ,pour leur came

Ca fait des tournantes et shoot dans les caves.

Pot terre contre pot fer, coca dans les pots de fleurs,

Floraison sous sodium,paranoïa à fleur de peau.

Triste panorama cerné laisser choir ou tirer à vue,

Zion zappé, machoire de cerbère pour bienvenue.

Pavés crades,slaloom entre urine et escrément ,

Seringues et surins,ruines et ciments.

Entre tox et escobar,mytho et franco,

Anarchiste et fachos ,entre castro et bargeaux

Courre d'une ruelle a l'avenue, du boulevard à la rue,

Citées aux pavillons, sens interdit l'ai pas vus.

Dans l'impasse seul soluce la souricière,

Pour méfiance et angle mort c'est la meurtrière.

Code du routard, de l'honneur, du battard

Du débrouillard, du crevard , ton choix ta tarre.

Ton tord, ta raison ,ton savoir faire, tes passions

Ta réalitée, tes fictions ,tes défaites, tes actions

Font et défont ,décèdent et enfantent

Tes rèves, tes cauchemards t'élèvent ou te descendent

Regarde les ascendants et le présent c est pire,

Ce sera dure pour la descendance à ouie dire,

Les ragots, le quand diras t- on, la bonne parole,

les radios, les journeaux, la parabole,

Infos ou intox, debout ou de dos

Ca tire comme des lapins ou disparus comme un dodo,

Inconnue comme le soldat ou connu comme dicaprio,

Dans ce méli mélo le libre arbitre est le maître mot.